JEAN ORIZET
LES MAUVAIS JOURS
Que mon bonheur porte ton
nom,
que tes yeux rongent mon espace,
que je sois ton terrain conquis.
que tes yeux rongent mon espace,
que je sois ton terrain conquis.
Ainsi deviendrons-nous
cette rose unique
à jamais sauvée
du long dessèchement.
cette rose unique
à jamais sauvée
du long dessèchement.
Ainsi pourrons-nous vivre
sans faiblir au cœur
des foules grimaçantes
et soutenir la lumière crue
des mauvais jours.
sans faiblir au cœur
des foules grimaçantes
et soutenir la lumière crue
des mauvais jours.
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