VALENTINE PENROSE
GILLES DE RAIS
Eau secoue la pluie
des toits
Celle des châteaux du
lierre
C'était vert l'eau
bouillonnait.
Ce furent des
draperies
Tige antique garnison
Cœurs cachés des
Mélusines
Sous de feutrées
floraisons.
Jamais étoile du
berger
Ne montra du si
féerique
Il n'était plus soir
ni jour.
Au long battant à la
longue aile
Terrifiant
Toi l'aîné le seul le
lierre.
Il y eut un tel
sourire
Quand ce fut le nid
de feu
Parmi le cierge et la
fleur
Un plat sourire de
pierre
Une Lilith toute
blanche
Grande géante là-haut
Au-dessus du nid de
feu.
On ne pouvait arriver
A plus vieille
sécurité
A plus sereine
bienveillance
Dans les bras d'avant
Adam
Au cercle des démons
blancs
Disons disons
Le cœur marron
Noir de baies boules
chatons
Résidus violets des
baies
Fruit de fusain
Oui zinzolin
Et laurier-tin
Manche étain talisman
plomb
Car il est une saison
Où l'on relève la
garde
Là
La belette saute
comme une guerrière le château hurle
Y suivent des manches
de couleurs sans noms
On revient
* Peut-être encore un
matin perlé une rose blanche -
Puis traînant ces
ailes et ces manches somptueuses il faut tuer.
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