ANTONIN ARTAUD
EN SONGE
Au fond des jardins de nos songes
Plus beaux que les plus beaux rèves de nos génies,
Saisis par des mystérieuses harmonies
Éclateront en nous des rêves de génie
Et des poèmes de mensonge
Dont nous écouterons les strophes infinies
En songe.
Et les vents courberont les arbres jusqu’à terre,
Des arbres plus fastueux que le conchant,
Ayant des fuits de pourpre et d’or, de diamant
Aux reflets alléchants,
Avec les yeux des émeraudes de mystère
Jetant rles flammes de mystère…
Et les vents tordront les ardres et nos corps
Arracheront aux bois lerus musiques intimes,
Et nos voix lanceront des musiques sublimes
Aux porches des forèts fauves des hautes cimes
.Àux fleuves d’or.
Afin de mieux saisir l’âme de nos domaines,
L’âme de nuit de décadence et de couchant,
La grande âme rle ténebres et de génie
Nous prendrons le chemin du sentier bleu qrri mène
Droit au couchant
Rayonnant de magnificence et d’harmonie
Ainsi qu’une rosacea au cœur du temple immense,
Et là nous entendons l’immortelle cadence
Des lignes et des corps rythmés
Et des gothiques balustrades parfumées
De la doucer des corps aimés
Par les hommes aux grandes âmes de cadence,
Par les poètes parfumés.
Plus beaux que les plus beaux rèves de nos génies,
Saisis par des mystérieuses harmonies
Éclateront en nous des rêves de génie
Et des poèmes de mensonge
Dont nous écouterons les strophes infinies
En songe.
Et les vents courberont les arbres jusqu’à terre,
Des arbres plus fastueux que le conchant,
Ayant des fuits de pourpre et d’or, de diamant
Aux reflets alléchants,
Avec les yeux des émeraudes de mystère
Jetant rles flammes de mystère…
Et les vents tordront les ardres et nos corps
Arracheront aux bois lerus musiques intimes,
Et nos voix lanceront des musiques sublimes
Aux porches des forèts fauves des hautes cimes
.Àux fleuves d’or.
Afin de mieux saisir l’âme de nos domaines,
L’âme de nuit de décadence et de couchant,
La grande âme rle ténebres et de génie
Nous prendrons le chemin du sentier bleu qrri mène
Droit au couchant
Rayonnant de magnificence et d’harmonie
Ainsi qu’une rosacea au cœur du temple immense,
Et là nous entendons l’immortelle cadence
Des lignes et des corps rythmés
Et des gothiques balustrades parfumées
De la doucer des corps aimés
Par les hommes aux grandes âmes de cadence,
Par les poètes parfumés.
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