ROGER GILBERT-LECOMTE
DEUIL D’AZUR
Comme un cœur ruisselant
De lentes larmes pales
De lentes larmes pales
Sous ce masque de perles
Étouffe un grand cri rouge
Étouffe un grand cri rouge
Étrangle le hurleur
Du sang tourbillonnant cyclone
Du sang tourbillonnant cyclone
L’oiseau pourpre abattu
De l’arbre de la vie
De l’arbre de la vie
Les pieuvres du vertige
De tous leurs bras l’étreignent
De tous leurs bras l’étreignent
Une agonie en proie
Aux baisers des ventouses
Aux baisers des ventouses
Palpite et frissonne
De plumes éteintes
De plumes éteintes
A son dernier sursaut
Bat d’une aile brisée
Bat d’une aile brisée
Dénonçant la présence
Immobile des portes
Immobile des portes
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