GEORGES SCHEHADÉ
Ô MON AMOUR
Ô mon amour il n’est rien
que nous aimons
Qui ne fuie comme l’ombre
Comme ces terres lointaines où l’on perd son nom
Il n’est rien qui nous retienne
Comme cette pente de cyprès où sommeillent
Des enfants de fer bleus et morts
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