Παρασκευή 11 Φεβρουαρίου 2011
ΑΠΟΛΛΙΝΑΙΡ!
GUILLAUME APOLLINAIRE
MA QUEUE ÉCLATAIT SOUS TES LÈVRES
Ma queue éclatait sous tes lèvres
Comme une prune de Juillet
La plume au vent qu’on taille en rêve
N’est pas plus folle je le sais
Que la volage aux amours brèves
Il me souvient de Félicie
Que je connu le jour de Pâques
Et dont la moniche roussie
S’ouvrait en coquille Saint-Jacques
De septembre à la fin Avril
Il me souvient de la Dona
Qui faisait l’amour en cadence
Et dont la figue distilla
Un alcool d’une violence
Mais je ne vous dit que cela.
Ετικέτες
ΓΑΛΛΙΚΗ ΠΟΙΗΣΗ,
APOLLINAIRE
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