JEAN FOLLAIN
LA BÊTE
Assise
en un corps de logis
où conduisent d’anciens chemins
vit une bête
qui n’attend rien du monde
des pièces communiquent
des portes se ferment
et des nuits s’approchent
dans le parfum d’un acacia.
Toutes les bêtes de son espèce
vivent en elle.
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