STEPHANE MALLARMÉ (1842-1898)
QUELLE SOIE AUX BAUMES DE TEMPSOù la Chimère s'exténue
Vaut la torse et native nue
Que, hors de ton miroir, tu tends !
Les trous de drapeaux méditants
S'exaltent dans une avenue :
Moi, j'ai ta chevelure nue
Pour enfouir des yeux contents.
Non. La bouche ne sera sûre
De rien goûter à sa morsure,
S'il ne fait, ton princier amant,
Dans la considérable touffe
Expirer, comme un diamant,
Le cri des Gloires qu'il étouffe.
Κρεμάσαμε το ποίημα, επειδή μας το έστειλε η κ. Pamela Prati.
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